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Tenue Ordinaire + 2 coupons de 30% + Pipe en bois, tabac, sachet de thé, dague courte(sa première création approuvé par son père), katana ancien (héritage familiale), ruban en tissus épais (cheveux), petit carnet de croquis/note/contact, crayon, baume rouge pour les lèvres + Kit Défaut niveau 4

Son apparence délicate et fragile est une impression que l'on ne garde pas bien longtemps en mémoire lorsqu'on apprend bien à connaitre Victoire. Par commencer par son langage fleuri et particulièrement diversifié qu'elle à développé avec le temps. Elle sait comment parler de manière intellectuelle lorsqu'il s'agit de son travail, en dehors de son travail, elle n'en reste pas moins une fille du peuple. Et sa grande gueule n'aide en rien à cela. Fort caractère, et particulièrement borné, elle n'exprime en rien l'élégance et le raffinement. À quoi est-ce que cela lui servirait ? Elle forge le métal, elle doit savoir remettre en place des associés et rester suffisamment forte pour aplanir le métal lorsqu'elle confectionne une épée, de la même manière que son caractère à pris le même chemin.

Ce que vous pouvez penser d'elle elle s'en fiche royalement, faites comme bon vous semble, mais si cela se déroule dans son temple, chez elle, dans sa forge ou elle se considère comme reine, tout est permis. Davantage adepte de l'intimidation que d'en venir aux mains, Victoire n'est pas une guerrière, elle a appris les bases voir un peu plus en ce qui concerne le combat à l'épée et au corps à corps, mais n'en est pas moins qu'un forgeron. Les épée qu'elle transporte lui servent la plupart du temps que de pub pour démontrer son travail lors de ses voyages, rare son les fois ou elle s'autorisera d'user de ses œuvres pour combattre autres que pour de la survie.

En dehors de cette carapace de métal se cache une jeune fille qui a peur, qui ne veut pas être seule. Très famille et qui n'arrive toujours pas à accomplir son deuil envers sa mère et son père.  Souvent après le travail, elle cache cela dans plusieurs verres d'alcool, cherchant de la compagnie d'ivrogne aussi pathétique qu'elle. Pour oublier son mal être et repartir le lendemain à la forge, ou le tintement du fer et du feu sont suffisamment fort et assourdissant pour l’empêcher de penser.

Bien que possédant un sale caractère elle n'en reste pas moins une jeune femme sachant aimer et n'hésitant pas à aider ceux qui le méritent. Elle ne fait pas d'effort pour n'importe qui, mais si elle décide de vous tendre la main elle vous donnera tout ce qu'il faudra pour vous relever sans hésiter. Elle adore les enfants, et donne parfois de petites missions pour les plus pauvres de la ville en échange de quelques friandises ou un peu d'argent pour les aider tout en les enseignant sur l'échange équivalent.

La seule certitude de Victoire concernant ses origines ethniques sont ses lointaines racines asiatiques qui coule dans ses veines malgré le temps. La tradition est là c'est certain, atténué voir disparue pour la plupart des codes, n'y ayant conservé que la plus importante, l'héritage du favori faire des forgerons. Mais surtout en termes du physique, il est certain que son patrimoine génétique n'est plus aussi pur d'avant. Une peau blanche, sensible au soleil, presque autant que les Occidentaux du nord de l'ancienne époque, des cheveux roux flamboyant. Seul son regard légèrement en amandes subsiste. Des pupilles banales, au couleur de la terre pourtant remplie de braises de caractère qui les enflamme.

Ses lèvres petites, mais légèrement charnues sont généralement teintées de rouge, seul signe de beauté qu'elle aime pratiquée chaque jour grâce à des résidus de fruits qu'elle cueille elle-même pour en faire un baume.

Un tatouage inspiré de ceux que son père porté orne son bras droit, lui prenant l'épaule, son avant-bras jusqu’à sa poitrine qu'il englobe parfaitement. Il représente une bête, un mixe de plusieurs espèces présentes en ce monde, aussi inspiré d'un des mythes des anciens. Une bête majestueuse et dangereuse que les anciens vénérer.
De ses doigts, elle transforme le minerai en arme, des doigts longs et d'apparence délicate qui sont pourtant devenus dure et caleuse au fil des années, à force de tenir marteau et métal chaud.

Dans un coin de Nodotheim, entre la crasse et les bâtiments de bois tenant vraisemblablement grâce au culte de Tiphéret se trouver une ruelle ou l'animation était toujours plus ou moins actif de jour comme de nuit. Plusieurs Artisant de toute sorte se partager le coin, criant plus fort les uns contre les autres pour attirer de la clientèle comme s'il était au marché comme pour espérer attirer plus de clients que son conquérant présent quelque rues plus bas.

C'est aussi dans celle partie de la ville que l'on pouvait trouver un panneau de bois sur lequel on pouvait trouver une inscription. '' Takashi''.

Vous passez alors une grand-porte, sans porte, séparer de l'extérieur que grâce à des rideaux épais. Un feu de cheminé, nourris par un jeune garçon éclaire la pièce avec quelque bougie. Une ambiance douce et tamisée contrastée par les armes présentes au fond de la pièce ne cherchait pas à partir avec la marchandise sans payer, un grand bonhomme qui ne sourit jamais se fera un bonheur de vous arrêter au pas de la porte. Et comme dirait Victoire, ''ce temple est le mien, j'en fais s'que veux''. Autant vous dire que même l'histoire ne ferait que commencer, mais passons.

Si vous êtes juste un passant, vous ne penserez passer que chez un marchand d'armes, qui n'en aurait cure de la qualité et chercherait juste à vous escroquer pour une belle armure qui ne serait robuste qu'en apparence. Mais si vous tendez l'oreille vous entendrait au loin, juste derrière le premier mur, le son du métal et du marteau dans un tintement presque infernal. Si vous avez de la jugeote ou si vous vous y connaissez, vous serez alors qu'ici on ne vend pas pour l'argent, mais pour la fierté du métier. Takeshi, dans le milieu c'est un nom qui prône une qualité de sabre or pair, une beauté et un tranchant presque légendaire trouvable nulle part ailleurs. Une technique et un savoir gardé égoïstement et farouchement par cette famille depuis les anciens temps.

Des sabres, ou alors comment on l'appeler jadis, des katanas. Il n'y avait qu'un maître artisan sachant en produire, et depuis sa mort c'est sa fille qui a pris la relève du commerce. D'une main de fer, elle dirige ses quelques hommes et femmes de talent pour l'assister dans son art depuis que la passation a été faite. Toute sa vie dit-on, elle n'a été élevée que dans ce but, bien que forgeant des armes, elle n'est pas une guerrière, elle n'est pas d'une grande originalité non plus ni d'une sagesse d'esprit hors pair. Toutes son intelligence et ses capacités sont tournées vers ses armes, ainsi qu'évidemment la survie. Bien que pour le dernier cas dit-on, cela est davantage dû à ton côté buté. De ce que je peux vous dire, qu'importe vos raisons, il vous faudra de la volonté pour la tuer.

Mais pourquoi se laisser dévier sur un sujet aussi funeste ? Car Victoire Takashi est bien vivante. Mais si je pouvais avoir un bon conseil à vous donner, je vous dirai de ne pas vous laisser avoir par son apparence, une beauté qui peut vous sembler délicate, mais qui vous fera tomber de haut au moindre mot prononcé. Une fille du peuple, et qui ne fait rien pour le cacher, la délicatesse, elle ne l'emploie que dans les rares cas ou elle veut avoir quelque chose. Elle sera quoi dire ou quoi faire pour attirer votre attention sur sa marchandise, car elle a confiance en son héritage et son art, elle sait que vous ferriez de merveille avec ses armes.

Intraitable en affaire, elle ne fait jamais de rabais, mais offrant à la rigueur un sourire séducteur entouré d'une fine couche de rouge pour faire ressortir ses cheveux de feu et son regard ardent. Un regard ou la braise de la forge semble briller en permanence.

Fut un temps pourtant ou cette enfant n’était pas aussi extraverti, son père l'intimider, et se réfugier dans les bras de sa mère pour recevoir sa tendresse et son amour. Jusqu'au jour ou en absence de son père pour tenir la boutique, des brigands profitent pour voler des armes, et sa mère ne les lâchant pas et se battant jusqu'au bout pour protéger le travail de son mari perdit la vie, sous ses yeux. Il n'eu alors plus de petite fille fragile, mais qu'une enfant tremblant de rage et de haine, envers ses hommes et elle-même, d'avoir été aussi faible. Au fil des années, elle s'approprie à son tour son héritage, ce mot est certainement celui que son père lui répéta le plus, l'avenir, l'héritage, la fierté des Takeshi devait transcender les âges et continuer.

On dit que c'est principalement pour cette raison aussi que la patronne recherche activement un homme pour perpétuer à son tour la passation, un enfant, ou peut-être même deux ? Qui sait ce que Victoire veut réellement. Mais il est certain que même si elle ne partage en rien ses pensées, elles n’en restent pas moins très claires dans son esprit. Elle avance avec conviction et ...

- Ey toi ! J'te paie pas pour faire d'la tendelle alors r'prend toi ou j'te  fout la tête contre la braise pigée ?!

Oups, à force de trop penser la patronne s'en rend évidemment compte. Je me remets donc au travail avant qu'elle ne s'exécute réellement... Peut-être qu'elle n’osera pas me faire cramer le visage, mais j'avoue ne pas être suffisamment fou pour en arriver à là...

Comment as-tu découvert le fow ? Heuuuu
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